Ombres

Formations pédagogiques

Les formations pédagogiques à destination des enseignants, dans cadre de leur formation continue organisée par les IEN de Mulhouse, se sont déroulées au Musée des Beaux-Arts de Mulhouse.

Ont été mis en place 4 ateliers, qui se sont déroulés simultanément au sein du Musée — disponibles en téléchargement en bas de cette page :

Les enseignants ont pu suivre 2 ateliers durant ces matinées. L'intérêt suscité par la variété des pratiques artistiques proposées a permis aux enseignants de se déterminer en fonction des projets qu'il souhaitaient mettre en œuvre dans leurs classes, et de mutualiser les expériences vécues.

Lieu

Formateurs

Enseignants participants

Écoles des circonscriptions de Mulhouse I et II (Haut-Rhin) :

  • Mat. Grand'Rue (Fabienne Meyer, Pascale Ahrweiller, Marie-Laure Boltz)
  • Mat. Haut-Poirier (Michèle Herth, Yolande Gerroldt)
  • Mat. Filozof (Geneviève Nargues, Nina Zwingelstein, Michèle Peter)
  • Mat. Les Érables (Frédéric Badzinski)
  • Mat. Porte du Miroir (Sophie Dufour, Catherine Bourderionnet)
  • Mat. V. Hugo (Isabelle Ritzenthaler, Agnès Mallauran)
  • Mat. Sellier (Laurence Engel)
  • Mat. Dieppe (Gabrielle Hourlier, Thomas Gila)
  • Mat. 4ème DMM (Christophe Jaecki)
  • Élé. J. Zay (Stéphanie Ledru, Marie-Paule Schendshecher, Christine Quet)
  • Élé. La Fontaine (Aurore Kothe, Jean-Pierre Pfrimmer)
  • Élé. Haut-Poirier (Brigitte Lévêque)
  • Élé. Furstenberger (Maryline Naas, Pierre Kehrli, Bernard Beck, Michel Wiederkehr)
  • Élé. Pergaud (Virginie Dietrich, Nathalie Fabian)
  • Élé. Stinzi (Jacques Deliot)
  • Élé. Drouot (Sylvie Bourghart)
  • Élé. V. Hugo (Roseline Pruykemaker)
  • Élé. Brossolette (Nuscan Erylmaz, Le Louis, Bernard Eichholltzer, Marie Sappa)
  • Élé. Nordfeld (Christelle Diringer)
  • Élé. C. Freinet (Céline Servoles, Audrey Kanzlzr)
  • Élé. Wagner (Audrey Lanfranca)
  • Élé. Kléber (Laurence Golinski, Joëlle Bordier)

Peinture et ombres

Démarche

Utiliser le hasard des ombres pour créer des œuvres picturales ou des éléments imaginaires.

Un bestiaire d'ombres | Pascale Ahrweiller
Un bestiaire d'ombres
  • Rassembler les connaissances des élèves autour du concept d'"ombre".
  • Enrichir ces apports par une approche scientifique — mise en œuvre de dispositifs scientifiques qui créent des ombres (électriques, naturels, artificiels) —, symbolique, littéraire (récits policiers), cinématographique
    (N. de Murno).
  • Observer et noter les qualités d'ombres connues et identifiables.
  • Créer au sein de sa classe des situations qui décrètent des ombres : salle de classe obscurcie, ampoule, bougie, drap tendu sur un cadre, objets, jeux de mains, objets découpés.
  • Présenter des œuvres (reproductions d'œuvres d'art) qui mettent des ombres en jeu (C. Boltanski), qui sculptent l'ombre (C. Hyvrard), qui se servent de l'ombre à des fin expressives (J-C. Blais), qui collectionnent des ombres (Pasteur Oberlin).

Comment s'approprier l'ombre et donner du sens à nos pratiques artistiques ?

  • Exprimer des craintes à l'aide d'ombres.
  • Des ombres pour inventer des histoires.
  • Créer nos propres ombres, jeux de mains.
  • Observer des ombres et en rendre compte.
  • Construire des ombres particulières (recherches et expérimentations).
  • S'amuser de l'ombre, créer de fausses ombres.
  • Rendre l'ombre orpheline de son "objet" d'attachement, et l'installer de manière autonome.
  • Faire son théâtre d'ombres.
  • Collectionner nos ombres profils, les mélanger, réaliser par exemple des ombres à deux profils visages, à trois profils visages, …
  • Dessiner des portraits sur des supports transparents qui, installés à distance d'un mur, projettent des ombres sur le mur face à une source lumineuse, la peinture devient source d'ombre — après quelques essais, décréter les tracés signifiants qui permettent d'émettre des ombres pertinentes (grattages de fonds peints, tracés fins, peintures avec de la colle vinylique pour adhérer au support transparent).
  • Projeter des ombres au plafond, sur les murs, sur le sol, une pièce devient ainsi support de créations.

Matériel

Les ombres une fois détourées | Pascale Ahrweiller
Les ombres une fois détourées
  • Utilisation des objets de sa trousse personnelle.
  • Assembler les différents objets afin d'obtenir une composition en hauteur (volume) : l'assemblage des objets peut être réalisé au moyen de scotch, d'élastiques, ou de pistolets à colle.
  • La projection peut se faire sur des feuilles de format raisin, sur du carton, sur des toiles tendues sur châssis.
  • Le contour de la silhouette peut être fait au crayon de papier, au marqueur ou au feutre.
  • Le remplissage peut être réalisé à la peinture, par collage de matières, …
  • Choix de la source lumineuse (naturelle, artificielle) : les sources naturelles sont intéressantes car elles sont mobiles (travail sur le temps et le déplacement du soleil qui entraîne un changement de la forme).

Ombres artificielles

La composition est intercalée entre une toile et une source lumineuse. L'enfant détoure au moyen d'un crayon ou d'un feutre la silhouette obtenue.

  • Piste 1
    • La composition peut être tournée à plusieurs reprises pour présenter une nouvelle silhouette. La projection peut être superposée aux précédentes et créer ainsi un entrelas de lignes. Les zones obtenues peuvent par la suite être remplies avec des aplats de couleurs ou bien des matières. Les lignes peuvent aussi être grossies, dilatées, prolongées.
    • Références : P. Mondrian, le All Over américain, …
  • Piste 2
    • La silhouette obtenue peut être le point de départ de la représentation d'une ville imaginaire, utopique. Les objets de la trousse forment des bâtiments, des ponts, une architecture imaginaire.
    • Références : livres sur l'utopie et sur l'architecture urbaine, futuriste, …
  • Piste 3
    • La silhouette obtenue peut être le point de départ de la représentation d'un être hybride,
      d'un monstre, un animal, un personnage, …
    • Références : mythologie, Centaure, Minotaure, D. Spoerri, D. Depoutot, J. Tinguely, …

Ombres naturelles

La peinture des ombres | Cyrille Saint-Cricq
La peinture des ombres

Une recherche d'ombres peut être effectuée dans la classe l'école. Une toile (feuille à dessin, tissus, carton, …) est disposée sous l'ombre projetée d'un objet, d'un meuble. L'enfant trace le contour de la silhouette obtenue.

  • Piste 1
    • La composition peut être décontextualisée et présentée dans un autre lieu. On peut jouer avec les changements de l'ombre suivant les heures. Par exemple, l'ombre vue durant 4 périodes horaires différentes (évolution du temps).
  • Piste 2
    • L'ombre peut être détourée sur une feuille, peinte et découpée puis remise en situation
      (in situ). Une photographie rendra compte du travail réalisé.
    • Références : peinture nocturne, Land Art, …

Comment garder la trace des ombres créées ?

  • Réaliser des tableaux.
  • Exposer des photos numériques (photos d'extérieur, en classe, …).
  • Installer des ombres matérialisées (papiers découpés, peints, …) sur les murs in situ.
  • Exposer des ombres complétées sur des "images", sur les murs.
  • Coloriser des ombres inventées.
  • Réaliser des motifs de tissus, vêtements, …
  • Réaliser des maquettes de ville d'après la projection d'une ombre.

À partir de l'œuvre de Colette Hyvrard

Colette Hyvrard, "Pongos", 1995 | Colette Hyvrard
Colette Hyvrard, Pongos, 1995

Une découverte de l'œuvre de Colette Hyvrard s'impose : en fait il s'agit de photos qui rendent compte d'installations "d'objets construits" qui à l'aide d'une source lumineuse (que l'on devine), donnent à voir des "ombres imagées". Les traces obtenues, caressent notre imaginaire et le bousculent quelque peu.

Colette Hyvrard laisse apparents les "objets" projetés, à savoir des cartons de rebut, des trombones …, qui assemblés les uns aux autres, font apparaître des images étonnantes. Elle montre le procédé d'adjonction de ces objets de rebut, et nous ramène à une forme de rapport à la réalité du quotidien, bouleversé par les ombres créées. Ces marques furtives, impalpables, fixées sur un support photographique, mettent à distance ce que l'on pense savoir sur les images, ce que l'on pense être le réel. Nous sommes des spectateurs conviés à redécouvrir des ombres qui font leur théâtre.

Il s'agit de bien "décomposer" le travail de cette artiste, d'en découvrir les étapes nécessaires et indispensables ; pourquoi ne pas faire une sorte de fiche technique ; et ensuite manipuler. Le sens et la pertinence des assemblages émergent alors petit à petit.

Démarche

  • Une expérimentation libre de ce que notre corps peut générer comme ombres portées.
  • Des "accessoires" peuvent enrichir cette approche ludique.
  • Viennent ensuite les objets apportés, choisis, trouvés, que l'on dépose sur une table afin d'en observer les projections.

Les contraintes matérielles se font voir : il s'agit de surélever les objets par des socles et d'orienter la source lumineuse. Cette "mise en bouche" peut s'effectuer dans une salle dans la pénombre, où ne donnent de la lumière que quelques lampes allumées et posées sur des tables.
Créons maintenant des projections à l'aide de papiers tenus, papiers déchirés, découpés, …

Matériel

La création d'une scène de la vie | Pascale Ahrweiller
La création d'une scène de la vie
  • Tables, lampes électriques orientables (si possible), rallonges électriques, papiers, trombones, carton, scotch, …
  • Socles en polystyrène extrudé, qui permettent de fixer "en hauteur" les recherches et réalisations à l'aide de trombones détendus.

Prolonger ces expériences

  • À l'aide d'un appareil photo numérique, conserver des étapes de recherches et d'expérimentations.
  • Légender ces documents.
  • Réaliser une petite édition des réalisations (format A5).
  • Engager un travail collectif autour d'une narration inventée, que l'on souhaite illustrer : des "tableaux" peuvent être répartis par groupe d'enfants, qui après avoir découpé le récit en plan séquences, réalisent des "images ombrées".

Ombres et TICE

Un groupe d'enseignants en formation | Cyrille Saint-Cricq
Un groupe d'enseignants en formation

Utiliser un logiciel de dessin ou de traitement d'images en simple remplacement des outils graphiques habituels (crayons, feutres, pinceaux, …) n'a pas beaucoup de sens à l'école primaire. Par contre, il existe des fonctions tout à fait spécifiques de ce type de logiciels qui justifient pleinement leur usage dans le domaine des arts plastiques. Dans cet atelier nous allons utiliser l'outil informatique pour tracer des formes puis les déformer. Les transformations que nous allons opérer (agrandissement, réduction, étirement, élargissement, déplacements, rotations, …) sont visuellement proches de ce que l'on observe dans le phénomène de création des ombres. La démarche ici est plastique et non pas scientifique. Nous allons prélever des formes sur une image pour les "travailler" à la manière d'ombres portées.

Matériel et logiciel

  • Tablette graphique Wacom Volito 2 format A6 (outil de traçage).
  • Suite logiciels gratuite OpenOffice version 1.15 en français (66 Mo) [1].

Démarche proposée

  • Mise en place de l'image :
    • Insérer une image sur laquelle on va travailler : "Insertion > Image".
    • L'image est agrandie à l'écran (travail plus confortable pour prélever des formes).
    • La position et la taille de l'image peuvent être verrouillés : "Clic droit" sur l'image puis option "Position et taille" puis "Protéger" (cases à cocher). Il est conseillé de faire cette manipulation qui évitera les déplacements volontaires de l'image.
  • Prélever des formes :
    • Seul l'outil permettant de tracer une forme libre sera utilisé.
    • La forme détourée peut être déplacée et remplie avec une couleur ou un motif.
  • Transformer les silhouettes :
    • Opérations "plastiques" utilisées (agrandir, réduire, étirer, élargir, déplacer, tourner, retourner) : rotations et étirements.
  • Pour aller plus loin :

Autre suggestion

L'intérêt de l'outil informatique est ici de permettre une exploration de possibles. Le résultat obtenu peut être le point de départ d'une réalisation avec des outils graphiques plus traditionnels.

  • À partir d'une image, jouer sur les zones claires ou obscures.
    • Logiciel utilisé : Photo Filtre 6.1.5 (version française gratuite) [2].
    • On insère une image : "Fichier > Ouvrir" (de nombreux formats sont acceptés). Avec l'option "Zoom" on règle éventuellement la taille de la photo à l'écran.
    • On demande l'affichage de contours en noir : "Filtres > Contours > Contours noirs".
    • Les différentes "zones" sont remplies avec des teintes plus ou moins foncées pour transformer l'image (recréer des contrastes, accentuer des zones claires ou foncées, inverser des valeurs, …). Cette opération peut se réaliser avec des couleurs, différentes valeurs d'une même couleur, en différents gris, …

Photogramme

Dessiner avec la lumière

Man Ray, "Salle à manger", v. 1931 | BNF
Man Ray, Salle à manger, v. 1931

Ombre et lumière : le photogramme est le produit de ces deux composantes, une empreinte de l'ombre par la lumière. C'est un procédé photographique simple, sans appareil photo, facilement réalisable avec les enfants.

Man Ray, le défini comme suit :

C'est une photographie obtenue par simple interposition de l'objet entre le papier sensible et la source lumineuse.

L'objet et l'ombre de celui-ci protège le papier photosensible de la lumière. Au final, on obtient sur fond noir la silhouette blanche de l'objet avec des dégradés de gris selon sa transparence, ses épaisseurs et sa forme. Le contour de l'objet est très précis et, si l'objet n'est pas totalement opaque, le rendu de l'intérieur est très détaillé.
Le résultat est un cliché unique de l'objet qui rappelle esthétiquement la radiographie et l'empreinte, très riche en effets de matière. On peut enrichir la composition en dessinant avec le bain d'arrêt ou en utilisant des tampons avec ce même bain.

Cette technique est très expérimentale, les résultats sont très surprenants, satisfaisant la curiosité des enfants et celle de l'adulte. Elle offre un vaste champ d'application et d'expression.

Objectifs

  • Découvrir et pratiquer une nouvelle technique.
  • Développer l'imaginaire par le détournement d'objet et la création d'analogies.
  • Opérer un choix de composition ayant du sens.
  • Aborder les notions de contour/intérieur, transparence/opacité, aplat/dégradé et silhouette/ombre.
  • Comprendre le principe de fonctionnement de la photographie argentique.
  • Expérimenter les matières, superpositions et observer les rendus afin de pouvoir réinvestir l'expérience dans un but précis.
  • Enrichir le vocabulaire spécifique.

Conception d'un projet type

Au préalable de l'expérience, préparer le labo photo en vous aidant de la fiche "Un atelier photogramme" du classeur pédagogique : toutes les données techniques (dosage de produit et temps d'immersion) y sont précisées.

Des tranches de citron | Pontauxchats
Des tranches de citron
  • Préparation : définir une thématique et la mise en œuvre, comme par exemple :
    • un abécédaire : dessiner la forme de la lettre avec des objets selon un thème ou rechercher des analogies de formes entre objets et lettres — associer le tampon (au bain d'arrêt) de la lettre avec un objet, animal, fruit, … commençant par celle-ci ;
    • l'illustration d'une histoire par la mise en scène d'objets, de formes et de matières ;
    • un portrait, un herbier, des animaux, des hybrides, le graphisme, la création de personnages, de paysages, réels ou imaginaires, … en associant des objets.
  • Déterminer les étapes et incitations qui ponctueront votre projet.
  • Réalisation : expliquer le projet aux enfants.
    • Créer une banque d'objets, de formes et de matières en rapport avec celle-ci.
    • Utiliser et récolter ce qui vous entoure : le contenu de la trousse, d'une boîte à outil, des ustensiles de cuisine, les mains des enfants, des petites figurines, animaux, ou créer une banque de formes en modelage, fil de fer, objet de récupération, des matières (papier calque, coton, …), ou encore récolter des feuilles d'arbres, mousses, plumes, …
  • Inventorier et décrire oralement les spécificités des objets, collectivement.
  • Expliquer la technique et récapituler clairement les tâches de chacun.
  • Laisser les enfants expérimenter la disposition des objets : chercher des asssociations et combinaisons afin d'aboutir à une composition, individuelle ou en groupe.
  • Dessiner les propositions.
  • Réalisation des photogrammes.
  • Verbalisation des productions.
  • Prolongement :
    • réalisation d'une édition, d'une exposition, d'une affiche, création d'outils mathématiques, de langage sous forme de dé, de cartes à jouer, …

Matériel nécessaire

  • Une pièce totalement obscurcie, plongée dans le noir total — c'est un point très important car la moindre source lumineuse, si elle n'est pas inactinique, noircira votre papier photo.
  • Un point d'eau et 1 bassine pour le rinçage.
  • Deux lampes de bureau, dont une munie d'une ampoule inactinique — l'autre sera la source lumineuse, une ampoule normale, de 60 watts suffit.
  • 3 bacs et 3 produits de développement : révélateur, bain d'arrêt et fixateur papier de la marque Ilford.
  • Du papier photo noir et blanc : Ilford multigrade RC.
  • Un fil et des pinces à linges pour suspendre les photogrammes.
  • Banque d'objets et de matières.

Vocabulaire spécifique

  • Insoler et exposer : soumettre à l'action de la lumière.
  • Révélateur : bain chimique destiné au développement de l'image latente, imprimée par la lumière dans le papier photo.
  • Bain d'arrêt : bain chimique qui arrête le processus de révélation.
  • Fixateur : bain chimique qui fixe l'image photographique pour qu'elle devienne inaltérable à la lumière.
  • Photosensible : sensible à la lumière.

Synonymes et références

  • Cyanotype par Anna Atkins (1799-1871), botaniste et illustratrice scientifique Britanique.
  • Photogramme par Laszlo Moholy-Nagy (1895-1946), peintre et photographe Hongrois d'Avant garde.
  • Rayogramme par Man ray (1890-1976), photographe, designer et réalisateur Américain Surréaliste.
  • Schadographie par Christian Schad (1894-1982), peintre et photographe Allemand Dadaïste.

Partenaire

Musée des Beaux-Arts de Mulhouse
4 Place Guillaume Tell
68100 Mulhouse
Téléphone : 03 89 33 78 11
Site Internet : www.musees.mulhouse.museum/dn_beaux_arts

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Peinture et ombres
De la forme des ombres à l'abstraction, à l'aide de grands formats de papiers (Cyrille Saint Cricq, responsable des Ateliers Pédagogiques d'Arts Plastiques).
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À partir de l'œuvre de Colette Hyvrard
Nous avons expérimenté des dispositifs simples pour créer des ombres. La présentation d'œuvres de Colette Hyvrard, et la mise en perspective des découvertes, a permis d'enrichir les manipulations en cours et d'aller vers une quête de sens affirmée (Jean-Jacques Freyburger, Conseiller pédagogique en Arts visuels).
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Ombres et TICE
À partir de photos prises à l'aide d'appareils numériques, nous détournerons les ombres prises de leur forme originelle, les objets ainsi manipulés donneront à voir des ombres sans objet objectif, ou des objets sans ombres destinées (Serge Zieba, Conseiller pédagogique TICE).
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Photogramme
Réalisation d'un photogramme avec un petit labo improvisé dans les locaux du Musée des Beaux-Arts (Caroline Brendel, intervenante des Ateliers Pédagogiques d'Arts Plastiques).
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  • [1] La version 1.15 de la suite (66 Mo) peut être téléchargée à partir du site d'OpenOffice. Elle est également disponible sur la compilation de logiciels Cédénet réalisée par le CDDP du Haut-Rhin. Il n'est pas nécessaire ici d'installer OpenOffice dans sa totalité : seul le module de traitement d'image (Draw) et les filtres graphiques (par précaution) sont nécessaires.
  • [2] Photo Filtre est disponible en téléchargement sur le site de son auteur (des sélections prédéfinies ainsi que des motifs y sont également proposés). Il est également disponible sur la compilation de logiciels Cédénet réalisée par le CDDP du Haut-Rhin.

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